17/12/2023
2006/01/15 Une huile d’olive libanaise vendue dans le monde
27/07/2009
Liban Economie
Une huile d’olive libanaise vendue dans le monde
Sept régions et villages libanais produisent une huile d’olive vierge extra sous le label « Traditions du Liban ». SRI* a fourni le support financier ettechnique de ce projet et a organisé le marketing.
Il existe dans le monde un forte demande sur l’huile d’olive vierge extra* car ses bienfaits sont nombreux. Riche en vitamine A et E et en acides gras non saturés, l’huile d’olive est bonne pour la peau, pour labeauté des ongles et des cheveux et prévient les maladies cardio-vasculaires. Le Liban produit de l’huile d’olive. Mais pour que sa production soit vendue de par le monde, il faut que son huile soit de qualité vierge extra, la plus demandée.
Améliorer la qualité de l’huile
« Après avoir mené une étude sur la production d’huile au Liban, explique James Billings, directeur du projet, nous avons choisi 7 régions capables de produire de « la vierge extra », chacune ayant un goût particulier. Puis, nous avons fait appel à une compagnie italienne (Institute for University Cooperation) et à la Fondation René Moawad pour apprendre aux agriculteurs et aux propriétaires des pressoirs les différentes techniques pour cultiver les oliviers, cueillir les olives, les presser et conserver l’huile dans le but d’améliorer sa qualité et de réduire les frais de production. »SRI a aussi développé le marketing de ce projet car « notre but était d’exporter le produit ». Il a donc fallu créer le label, décider d’une forme de bouteille, être présent dans les foires internationales pour l’alimentation, établir de nouveaux contacts …
De nouveaux projets
Fin 2004, la société Wadi el Akhdar a acheté 50 tonnes d’huile de « Traditions du Liban ». Un tiers est vendu au Liban et le reste est exporté en Europe et en Amérique du nord. SRI étudie l’élaboration d’autres projets comme la production du thym et de l’huile de pépins de raisins. «Nous cherchons aussi à soutenir des petites et moyennes entreprises qui ont le potentiel de se développer. »
Améliorer la qualité de l’huile
« Après avoir mené une étude sur la production d’huile au Liban, explique James Billings, directeur du projet, nous avons choisi 7 régions capables de produire de « la vierge extra », chacune ayant un goût particulier. Puis, nous avons fait appel à une compagnie italienne (Institute for University Cooperation) et à la Fondation René Moawad pour apprendre aux agriculteurs et aux propriétaires des pressoirs les différentes techniques pour cultiver les oliviers, cueillir les olives, les presser et conserver l’huile dans le but d’améliorer sa qualité et de réduire les frais de production. »SRI a aussi développé le marketing de ce projet car « notre but était d’exporter le produit ». Il a donc fallu créer le label, décider d’une forme de bouteille, être présent dans les foires internationales pour l’alimentation, établir de nouveaux contacts …
De nouveaux projets
Fin 2004, la société Wadi el Akhdar a acheté 50 tonnes d’huile de « Traditions du Liban ». Un tiers est vendu au Liban et le reste est exporté en Europe et en Amérique du nord. SRI étudie l’élaboration d’autres projets comme la production du thym et de l’huile de pépins de raisins. «Nous cherchons aussi à soutenir des petites et moyennes entreprises qui ont le potentiel de se développer. »
*SRI : Institut de recherche de l’université de Standford devenu indépendant, aujourd’hui. Depuis 2002 et grâce au financement de USAID ( Agence américaine pour le développement international), SRI soutient des projets dans le but de développer le tourisme et l’économie rurale du Liban.
*vierge extra : est une huile d’olive dont le taux d’acidité (concentration d’acide oléique) est inférieur à 1%.
L’huile d’olive est utilisée dans notre nourriture quotidienne.
La culture de l’olivier aurait débuté il y a près de 4000 ans en Crête ou peut-être même en Phénicie. Avec les conquêtes romaines, cette culture s’est étendue sur tout le bassin méditerranéen.
Le sais-tu ?Une légende grecque raconte que l'olivier cultivé est le fruit d'une querelle entre Athéna, déesse de la Sagesse, et Possédions, dieu de la mer, à propos de la protection d'une ville nouvelle. Pour les départager, Zeus propose à chacun d’eux de faire un don à l'humanité.Avec son trident, Poséidon fit jaillir d'un rocher un cheval magnifique pouvant porter cavalier et armes, traîner des chars et faire gagner des batailles.
Athéna se pencha sur un morceau de terre, le toucha et en fit sortir un olivier pour nourrir, soigner les blessures et les rhumes. Cet arbre fut déclaré "le don le plus utile à l'humanité" et Athéna obtint la protection de la ville qui porte toujours son nom : "Athènes."
Le sais-tu ?Une légende grecque raconte que l'olivier cultivé est le fruit d'une querelle entre Athéna, déesse de la Sagesse, et Possédions, dieu de la mer, à propos de la protection d'une ville nouvelle. Pour les départager, Zeus propose à chacun d’eux de faire un don à l'humanité.Avec son trident, Poséidon fit jaillir d'un rocher un cheval magnifique pouvant porter cavalier et armes, traîner des chars et faire gagner des batailles.
Athéna se pencha sur un morceau de terre, le toucha et en fit sortir un olivier pour nourrir, soigner les blessures et les rhumes. Cet arbre fut déclaré "le don le plus utile à l'humanité" et Athéna obtint la protection de la ville qui porte toujours son nom : "Athènes."
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